« Je m’appelle Pedro Sandoval, et jusqu’en 2006, je m’appelais Alejandro Adrian Rei ». Imaginez qu’à 20 ou 30 ans, vous appreniez que votre nom, votre date de naissance et même votre famille ne sont pas les vôtres.
C’est l’histoire de 500 enfants argentins volés à leurs familles pendant la dictature militaire en Argentine de 1976 à 1983. Fils et filles de prisonniers politiques, ils sont nés en prisons et ont été «offerts» à des couples stériles proches du régime.
Grâce à l’acharnement des fameuses grands-mères de la place de mai, 119 de ces enfants ont été retrouvés.
Comment se reconstruire en sachant que toute son histoire n’est qu’un mensonge d’Etat ? Peut-on pardonner aux parents adoptifs qui ont menti dès le premier jour ? Comment vivre le fait que tous les médias argentins étalent dans la presse le mensonge de sa vie ?
Dans ce documentaire, trois de ces enfants disparus nous racontent leur parcours pour reconstituer et accepter leur nouvelle identité.
« Je m’appelle Pedro Sandoval, et jusqu’en 2006, je m’appelais Alejandro Adrian Rei ». Imaginez qu’à 20 ou 30 ans, vous appreniez que votre nom, votre date de naissance et même votre famille ne sont pas les vôtres.
C’est l’histoire de 500 enfants argentins volés à leurs familles pendant la dictature militaire en Argentine de 1976 à 1983. Fils et filles de prisonniers politiques, ils sont nés en prisons et ont été «offerts» à des couples stériles proches du régime.
Grâce à l’acharnement des fameuses grands-mères de la place de mai, 119 de ces enfants ont été retrouvés.
Comment se reconstruire en sachant que toute son histoire n’est qu’un mensonge d’Etat ? Peut-on pardonner aux parents adoptifs qui ont menti dès le premier jour ? Comment vivre le fait que tous les médias argentins étalent dans la presse le mensonge de sa vie ?
Dans ce documentaire, trois de ces enfants disparus nous racontent leur parcours pour reconstituer et accepter leur nouvelle identité.
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