Dans une Centrafrique déchirée par des années de guerres civiles et de coups d’Etat, un artiste a décidé de lutter… à coups de crayons. Tel un reporter de guerre, Didier Kassaï raconte en dessin la vie quotidienne des Centrafricains pris au piège dans un conflit sans issue. Son ambition à travers ses bandes-dessinées : transmettre cette histoire dramatique aux jeunes générations.
C’est en 2013, lors de la guerre civile qui a opposé les rebelles de confession musulmane de la Seleka au président chrétien Bozizé, que Didier Kassaï commence à dépeindre l’horreur de la guerre. Interdit de prendre des photos, il se rend chaque jour au péril de sa vie dans les rues de Bangui, la capitale, pour y observer les combats et les restituer ensuite à l’aide d’une feuille et d'un crayon…. Dans ses ouvrages, l’artiste raconte son enfer à la première personne : une vie faite de peur, à éviter les grenades, les coups de machettes et les tirs de kalachnikovs. Un an plus tard, il publie « Bangui : terreur en Centrafrique ». Interdite dans son pays, la bande-dessinée connaît un grand succès en France et donne un écho à une réalité oubliée.
Aujourd’hui encore, la Centrafrique vit sous la menace permanente d’une guerre civile confessionnelle, et Didier Kassaï, lui, espère un jour dessiner un quotidien plus joyeux…
Dans une Centrafrique déchirée par des années de guerres civiles et de coups d’Etat, un artiste a décidé de lutter… à coups de crayons. Tel un reporter de guerre, Didier Kassaï raconte en dessin la vie quotidienne des Centrafricains pris au piège dans un conflit sans issue. Son ambition à travers ses bandes-dessinées : transmettre cette histoire dramatique aux jeunes générations.
C’est en 2013, lors de la guerre civile qui a opposé les rebelles de confession musulmane de la Seleka au président chrétien Bozizé, que Didier Kassaï commence à dépeindre l’horreur de la guerre. Interdit de prendre des photos, il se rend chaque jour au péril de sa vie dans les rues de Bangui, la capitale, pour y observer les combats et les restituer ensuite à l’aide d’une feuille et d'un crayon…. Dans ses ouvrages, l’artiste raconte son enfer à la première personne : une vie faite de peur, à éviter les grenades, les coups de machettes et les tirs de kalachnikovs. Un an plus tard, il publie « Bangui : terreur en Centrafrique ». Interdite dans son pays, la bande-dessinée connaît un grand succès en France et donne un écho à une réalité oubliée.
Aujourd’hui encore, la Centrafrique vit sous la menace permanente d’une guerre civile confessionnelle, et Didier Kassaï, lui, espère un jour dessiner un quotidien plus joyeux…
Une erreur s’est produite lors de la lecture de votre contenu