« Les gens disent que nous, les jeunes cubains, nous sommes l’espérance, le futur, mais on ne nous donne pas l’opportunité de créer de changement ». Fabien a la vingtaine et il se sent en décalage avec son pays en deuil après la mort de Fidel Castro.
À Cuba, il n’est pas le seul de sa génération à vouloir une autre révolution que celle prônée par le « commandante ». Depuis sa mort, la pression sur la jeunesse cubaine avide de liberté n’a pas baissé. Aujourd’hui encore, beaucoup n’osent pas parler. Si bien que les hommages à Fidel résonnent davantage que les cris des jeunes qui aspirent à plus de démocratie.
« Les gens disent que nous, les jeunes cubains, nous sommes l’espérance, le futur, mais on ne nous donne pas l’opportunité de créer de changement ». Fabien a la vingtaine et il se sent en décalage avec son pays en deuil après la mort de Fidel Castro.
À Cuba, il n’est pas le seul de sa génération à vouloir une autre révolution que celle prônée par le « commandante ». Depuis sa mort, la pression sur la jeunesse cubaine avide de liberté n’a pas baissé. Aujourd’hui encore, beaucoup n’osent pas parler. Si bien que les hommages à Fidel résonnent davantage que les cris des jeunes qui aspirent à plus de démocratie.
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