Se faire passer pour un gourou à la Khumbh Mela, le plus grand rassemblement religieux au monde, c’est le pari fou de notre journaliste Constantin Simon.
Pour sa dernière enquête, Constantin Simon, notre journaliste basé en Inde, a eu une idée insensée : se faire passer pour un gourou à la Kumbh Mela, le plus grand rassemblement religieux au monde. Un pèlerinage indien qui accueille des dizaines de millions de personnes par jour.
Pendant deux mois, les gourous ou sadhus y élisent domicile et dispensent leurs services en tout genre : bénédictions, prédictions, spectacles de performances où l’on peut admirer des sadhus s’enrouler les testicules autour d’un sabre ou s’infiltrer un billet de banque dans l’urètre… Un rassemblement aux allures de foire, mais où la spiritualité est partout.
Mais pourquoi donc se déguiser en gourou ? Après avoir baroudé en Inde pendant 8 ans à réaliser des reportages sérieux, Constantin a voulu s’essayer à un autre type de journalisme : incarné, burlesque mais instructif. Et comment mieux comprendre le rôle et la mission des gourous qu’en se mettant dans leur peau pendant deux mois ?
Pendant son aventure, ce « gourou étranger » réalise bien vite que dans ce pays fascinant, personne n’a le monopole de la spiritualité. Et même si certains gourous sont d’incroyables arnaques, les « vrais » - les sadhus - vivent dans la simplicité la plus totale. Un façon d’ « être à soi » et aux autres qui force le respect.
Pour sa dernière enquête, Constantin Simon, notre journaliste basé en Inde, a eu une idée insensée : se faire passer pour un gourou à la Kumbh Mela, le plus grand rassemblement religieux au monde. Un pèlerinage indien qui accueille des dizaines de millions de personnes par jour.
Pendant deux mois, les gourous ou sadhus y élisent domicile et dispensent leurs services en tout genre : bénédictions, prédictions, spectacles de performances où l’on peut admirer des sadhus s’enrouler les testicules autour d’un sabre ou s’infiltrer un billet de banque dans l’urètre… Un rassemblement aux allures de foire, mais où la spiritualité est partout.
Mais pourquoi donc se déguiser en gourou ? Après avoir baroudé en Inde pendant 8 ans à réaliser des reportages sérieux, Constantin a voulu s’essayer à un autre type de journalisme : incarné, burlesque mais instructif. Et comment mieux comprendre le rôle et la mission des gourous qu’en se mettant dans leur peau pendant deux mois ?
Pendant son aventure, ce « gourou étranger » réalise bien vite que dans ce pays fascinant, personne n’a le monopole de la spiritualité. Et même si certains gourous sont d’incroyables arnaques, les « vrais » - les sadhus - vivent dans la simplicité la plus totale. Un façon d’ « être à soi » et aux autres qui force le respect.
Une erreur s’est produite lors de la lecture de votre contenu