Faire la fête à Bobigny, Aubervilliers, Pantin, Nanterre, St Denis… a priori, ça ne fait pas franchement rêver. « La banlieue, ça craint », pensent la plupart des Parisiens.
Un préjugé tenace auquel ont décidé de s’attaquer plusieurs collectifs branchés comme SoukMachines, 6b, la Mamie’s, la Ferme du bonheur…. Pour faire changer d’avis sur la banlieue, quoi de mieux que d’organiser des énormes teufs de l’autre côté du périph' ? Avec un argument principal : du très bon son.
Ces soirées d’un nouveau genre commencent en plein milieu de l’après midi et rassemblent un public hétéroclite autour de deux choses : l’amour de l’électro et la détente. En banlieue, on respire. Il y a plus d’air, de liberté, pas de dress code, ni de physionomistes méprisants. Un joyeux bordel qui attire de plus en plus d’habitués, dégoutés par le snobisme de la nuit parisienne et son côté tu-ne-sais-pas-pourquoi-tu-as-payé-20-balles… Là-bas, graffer ou faire du kayak avant de commencer à danser, c’est possible ! Une belle initiative qui souffle un vent de fraîcheur sur les banlieues. Les jeunes fêtards n’ont pas attendu les hommes politiques pour faire le Grand Paris...
Faire la fête à Bobigny, Aubervilliers, Pantin, Nanterre, St Denis… a priori, ça ne fait pas franchement rêver. « La banlieue, ça craint », pensent la plupart des Parisiens.
Un préjugé tenace auquel ont décidé de s’attaquer plusieurs collectifs branchés comme SoukMachines, 6b, la Mamie’s, la Ferme du bonheur…. Pour faire changer d’avis sur la banlieue, quoi de mieux que d’organiser des énormes teufs de l’autre côté du périph' ? Avec un argument principal : du très bon son.
Ces soirées d’un nouveau genre commencent en plein milieu de l’après midi et rassemblent un public hétéroclite autour de deux choses : l’amour de l’électro et la détente. En banlieue, on respire. Il y a plus d’air, de liberté, pas de dress code, ni de physionomistes méprisants. Un joyeux bordel qui attire de plus en plus d’habitués, dégoutés par le snobisme de la nuit parisienne et son côté tu-ne-sais-pas-pourquoi-tu-as-payé-20-balles… Là-bas, graffer ou faire du kayak avant de commencer à danser, c’est possible ! Une belle initiative qui souffle un vent de fraîcheur sur les banlieues. Les jeunes fêtards n’ont pas attendu les hommes politiques pour faire le Grand Paris...
Une erreur s’est produite lors de la lecture de votre contenu