C'est dans ce genre d'endroits que nos déchets se cachent pour mourir. Et pas n'importe quels déchets : des télévisions, ordinateurs, écrans LCD... bref, parmi les plus toxiques au monde. Nous sommes de plus en plus nombreux à utiliser et à remplacer des appareils électroniques or, jusqu'à présent, les fabricants n'ont pas su proposer de solutions crédibles pour traiter et recycler les déchets qui en résultent. Résultat : une grande partie d'entre eux finit dans des décharges sauvages. L'une des plus importantes et des plus polluées se trouve à Agbogbloshie, au Ghana où des habitants tentent de survivre en récupérant ce qu'ils peuvent.
Dans "Les déchets de la honte", les réalisateurs enquêtent sur le monde obscur de l'élimination des déchets électroniques dans le monde, où les vides juridiques, le manque d'investissement dans le recyclage, les entreprises sans scrupule et l'application politisée des lois existantes conduisent à des opportunités gâchées, à la dégradation de l'environnement et pour les habitants à des conditions de vie infernales, dans une décharge toxique.
En nous plongeant dans ce monde caché, nous rencontrons ceux qui souffrent de notre dépendance aux nouveaux appareils, qui travaillent dans des conditions dangereuses et qui sont sujets aux cancers et autres maladies dès leur plus jeune âge. Mais sans la décharge, des milliers de personnes n'auraient pas d'emploi, des tonnes de déchets électroniques ne seraient pas recyclées et les Ghanéens ne bénéficieraient pas de technologies susceptibles de changer leur vie.
Décideurs politiques et entreprises se rejettent la responsabilité de cette situation.
Magnifiquement filmé et adoptant une perspective mondiale, le film "Les déchets de la honte" explore les défis mais aussi les solutions possibles - certaines très simples - qui pourraient réduire le volume de déchets, tirer parti de l'existence de compétences impressionnantes, soulager la pauvreté et sauvegarder notre environnement.
C'est dans ce genre d'endroits que nos déchets se cachent pour mourir. Et pas n'importe quels déchets : des télévisions, ordinateurs, écrans LCD... bref, parmi les plus toxiques au monde. Nous sommes de plus en plus nombreux à utiliser et à remplacer des appareils électroniques or, jusqu'à présent, les fabricants n'ont pas su proposer de solutions crédibles pour traiter et recycler les déchets qui en résultent. Résultat : une grande partie d'entre eux finit dans des décharges sauvages. L'une des plus importantes et des plus polluées se trouve à Agbogbloshie, au Ghana où des habitants tentent de survivre en récupérant ce qu'ils peuvent.
Dans "Les déchets de la honte", les réalisateurs enquêtent sur le monde obscur de l'élimination des déchets électroniques dans le monde, où les vides juridiques, le manque d'investissement dans le recyclage, les entreprises sans scrupule et l'application politisée des lois existantes conduisent à des opportunités gâchées, à la dégradation de l'environnement et pour les habitants à des conditions de vie infernales, dans une décharge toxique.
En nous plongeant dans ce monde caché, nous rencontrons ceux qui souffrent de notre dépendance aux nouveaux appareils, qui travaillent dans des conditions dangereuses et qui sont sujets aux cancers et autres maladies dès leur plus jeune âge. Mais sans la décharge, des milliers de personnes n'auraient pas d'emploi, des tonnes de déchets électroniques ne seraient pas recyclées et les Ghanéens ne bénéficieraient pas de technologies susceptibles de changer leur vie.
Décideurs politiques et entreprises se rejettent la responsabilité de cette situation.
Magnifiquement filmé et adoptant une perspective mondiale, le film "Les déchets de la honte" explore les défis mais aussi les solutions possibles - certaines très simples - qui pourraient réduire le volume de déchets, tirer parti de l'existence de compétences impressionnantes, soulager la pauvreté et sauvegarder notre environnement.
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