Pour répondre aux insultes, au sexisme, et aux violences quotidiennes au Brésil, elles ont décidé de bouger leurs fesses.
Renata, Taisa et Sabrina ont créé l’université de l’audace à Rio. Des cours de danse qui bousculent les idées reçues en utilisant le booty shake pour émanciper les femmes. On la dit vulgaire, voire porno-compatible, et pourtant, cette danse a le pouvoir de combattre les préjugés et de libérer les corps. Ces trois danseuses voient dans les mouvements du bassin une manière d’assumer leur féminité. Elles ont fait des centaines d’adeptes, qui trouvent dans cet exercice, hautement physique, le moyen de se retrouver telles qu’elles sont : femmes, rondes ou maigres, complexées ou fières.
Une autre forme de féminisme, qui n’en est pas moins efficace. Une véritable révolution au Brésil, un pays où les femmes sont souvent enfermées dans les clichés, et sont, pour beaucoup, victimes d’agressions physiques et de viols.
Pour répondre aux insultes, au sexisme, et aux violences quotidiennes au Brésil, elles ont décidé de bouger leurs fesses.
Renata, Taisa et Sabrina ont créé l’université de l’audace à Rio. Des cours de danse qui bousculent les idées reçues en utilisant le booty shake pour émanciper les femmes. On la dit vulgaire, voire porno-compatible, et pourtant, cette danse a le pouvoir de combattre les préjugés et de libérer les corps. Ces trois danseuses voient dans les mouvements du bassin une manière d’assumer leur féminité. Elles ont fait des centaines d’adeptes, qui trouvent dans cet exercice, hautement physique, le moyen de se retrouver telles qu’elles sont : femmes, rondes ou maigres, complexées ou fières.
Une autre forme de féminisme, qui n’en est pas moins efficace. Une véritable révolution au Brésil, un pays où les femmes sont souvent enfermées dans les clichés, et sont, pour beaucoup, victimes d’agressions physiques et de viols.
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