A Peyrelevade, petit village de Corrèze de 800 habitants, les migrants venus du Nigeria, d’Irak ou du Kosovo sont devenus le moteur de la vie locale.
Commerces, troquets, écoles mais aussi, et surtout, le club de foot. Grâce aux réfugiés, l’équipe de Peyrelevade connait une seconde vie. L’une des nouvelles stars du club s’appelle Abi. Arrivé du Nigeria, il y a six mois, il a fait une demande d’asile et rêve d’une carrière de footballeur.
Accueillir des réfugiés est une tradition à Peyrelevade. Aujourd’hui, une soixantaine de migrants y vivent. En attendant une réponse sur leur demande d’asile, ils sont logés dans un CADA (un Centre d’Accueil des Demandeurs d’Asile). Dans le village, la plupart des habitants sont heureux de pouvoir les accueillir. Au début, il y avait des préjugés et des interrogations, mais aujourd’hui, les migrants sont bien intégrés et de nombreux villageois font remarquer que dans une situation similaire à celle des réfugiés, ils seraient bien contents de trouver une terre d’accueil.
A Peyrelevade, petit village de Corrèze de 800 habitants, les migrants venus du Nigeria, d’Irak ou du Kosovo sont devenus le moteur de la vie locale.
Commerces, troquets, écoles mais aussi, et surtout, le club de foot. Grâce aux réfugiés, l’équipe de Peyrelevade connait une seconde vie. L’une des nouvelles stars du club s’appelle Abi. Arrivé du Nigeria, il y a six mois, il a fait une demande d’asile et rêve d’une carrière de footballeur.
Accueillir des réfugiés est une tradition à Peyrelevade. Aujourd’hui, une soixantaine de migrants y vivent. En attendant une réponse sur leur demande d’asile, ils sont logés dans un CADA (un Centre d’Accueil des Demandeurs d’Asile). Dans le village, la plupart des habitants sont heureux de pouvoir les accueillir. Au début, il y avait des préjugés et des interrogations, mais aujourd’hui, les migrants sont bien intégrés et de nombreux villageois font remarquer que dans une situation similaire à celle des réfugiés, ils seraient bien contents de trouver une terre d’accueil.
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