A Rio, les victimes de balles perdues se multiplient. Il y a environ 4000 personnes par an qui tombent sous les tirs croisés des policiers et des bandes armées.
Pas une semaine sans un enterrement d’une victime de balle perdue. A Rio, la capitale économique du Brésil, on dénombre en moyenne 4000 personnes qui meurent chaque année sous les tirs croisés des policiers et des bandes armées. Depuis que la police militaire a été missionnée pour reprendre le contrôle des favelas, les affrontements sont quotidiens, de plus en plus violents et les armes de plus en plus puissantes…
Les victimes de balles perdues sont souvent des enfants… Victoria est une journaliste brésilienne basée à Rio de Janeiro. Elle a voulu savoir comment son pays en était arrivé là.
Pas une semaine sans un enterrement d’une victime de balle perdue. A Rio, la capitale économique du Brésil, on dénombre en moyenne 4000 personnes qui meurent chaque année sous les tirs croisés des policiers et des bandes armées. Depuis que la police militaire a été missionnée pour reprendre le contrôle des favelas, les affrontements sont quotidiens, de plus en plus violents et les armes de plus en plus puissantes…
Les victimes de balles perdues sont souvent des enfants… Victoria est une journaliste brésilienne basée à Rio de Janeiro. Elle a voulu savoir comment son pays en était arrivé là.
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