Pour les uns, la rue des Rosiers évoque attentats ou falafels, pour les autres c’est un centre névralgique du judaïsme avec ses lieux de cultes et ses commerces de bouche cashers. C’est aussi une rue de cohabitation multiple, ou se mélangent gays, fashionistas, touristes ...
La population juive elle-même est hybride, entre Ashkenazes et Sepharades, ultra-religieux et laïques. L’optimisme y est de mise : les nouvelles générations, sensibles à leurs origines comme aux avantages d’un quartier branché, créent des lieux inédits qui apportent un nouveau souffle.
Ce mélange hétéroclite en fait une rue unique au monde, qui fait la démonstration d’ententes possibles, d'une adaptabilité permanente. Ce microcosme, miroir de tout un peuple, pose autant la question de l’altérité que celle de l’identité du Judaïsme.
Les mots de la réalisatrice : "Les attentats de janvier 2015, ont fait naitre en moi une sourde colère et un sentiment d'impuissance, que j'ai eu besoin d'éloigner en faisant un film qui raconte une histoire optimiste de cohabitation et d'ententes malgré une divergence de points de vue. Parce que le foisonnement de cette rue m'interpellait depuis longtemps, j'ai voulu le capter et entendre les voix du quartier. Raconter comment ce melting-pot foisonnant est un lieu de renaissances permanentes où l'étranger n'est en rien singulier".
Pour les uns, la rue des Rosiers évoque attentats ou falafels, pour les autres c’est un centre névralgique du judaïsme avec ses lieux de cultes et ses commerces de bouche cashers. C’est aussi une rue de cohabitation multiple, ou se mélangent gays, fashionistas, touristes ...
La population juive elle-même est hybride, entre Ashkenazes et Sepharades, ultra-religieux et laïques. L’optimisme y est de mise : les nouvelles générations, sensibles à leurs origines comme aux avantages d’un quartier branché, créent des lieux inédits qui apportent un nouveau souffle.
Ce mélange hétéroclite en fait une rue unique au monde, qui fait la démonstration d’ententes possibles, d'une adaptabilité permanente. Ce microcosme, miroir de tout un peuple, pose autant la question de l’altérité que celle de l’identité du Judaïsme.
Les mots de la réalisatrice : "Les attentats de janvier 2015, ont fait naitre en moi une sourde colère et un sentiment d'impuissance, que j'ai eu besoin d'éloigner en faisant un film qui raconte une histoire optimiste de cohabitation et d'ententes malgré une divergence de points de vue. Parce que le foisonnement de cette rue m'interpellait depuis longtemps, j'ai voulu le capter et entendre les voix du quartier. Raconter comment ce melting-pot foisonnant est un lieu de renaissances permanentes où l'étranger n'est en rien singulier".
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