À l’extrême-est de l’Ukraine, un petit village porte les cicatrices de la guerre. Maisons abandonnées ou partiellement détruites, pénuries d’eau et d’électricité, commerces fermés... Tr’okhizbenka ressemblerait à un village fantôme si 1 000 âmes n’avaient pas décidé d’y rester, coûte que coûte.
À 400 mètres de là, l’armée ukrainienne s’oppose aux séparatistes pro-russes financés et équipés par Moscou. Pourtant, pendant l'été 2018, c'est à seulement quelques centaines de kilomètres de cette guerre qui a déjà fait 100 000 morts, que s'est jouée la Coupe du monde de football.
Cet événement mondial, organisé en Russie, fait ressurgir les tensions identitaires, générationnelles et culturelles entre les habitants de Tr’okhizbenka, dont l’identité est écartelée entre la nouvelle Ukraine et l’ancienne mère patrie soviétique, la Russie.
À l’extrême-est de l’Ukraine, un petit village porte les cicatrices de la guerre. Maisons abandonnées ou partiellement détruites, pénuries d’eau et d’électricité, commerces fermés... Tr’okhizbenka ressemblerait à un village fantôme si 1 000 âmes n’avaient pas décidé d’y rester, coûte que coûte.
À 400 mètres de là, l’armée ukrainienne s’oppose aux séparatistes pro-russes financés et équipés par Moscou. Pourtant, pendant l'été 2018, c'est à seulement quelques centaines de kilomètres de cette guerre qui a déjà fait 100 000 morts, que s'est jouée la Coupe du monde de football.
Cet événement mondial, organisé en Russie, fait ressurgir les tensions identitaires, générationnelles et culturelles entre les habitants de Tr’okhizbenka, dont l’identité est écartelée entre la nouvelle Ukraine et l’ancienne mère patrie soviétique, la Russie.
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